L'eau est une ressource précieuse.
KSB : la compétence dans le secteur de l'eau
Pompes, robinetterie, techniques d'automation, entraînements, actionneurs et unités de pompage complètes.
Nous offrons des solutions aux exigences les plus variées
Saviez-vous...
...que 2,5 % seulement de l'eau de la planète est de l'eau douce ?
...que 0,28 % seulement sont disponibles pour la consommation humaine ?
...que 40 % de la population est confrontée à un manque d'eau ?
...que 50 des plus grandes pompes à corps tubulaire de KSB pourraient inverser le cours du Rhin ?
...que la pompe KSB d'alimentation de chaudière équipant la centrale énergétique de Niederaussem (Allemagne) serait en mesure de pomper 3 000 000 de litres (3 000 m³) d'eau à l'heure, sans station de pompage intermédiaire, jusqu'au sommet du Mont Blanc ?
Nous proposons des solutions intégrées en matière de pompes, de robinetterie, de techniques d'automation, d'entraînements, d'actionneurs et d'unités de pompage complètes. Nous sommes présents dans le monde entier dès qu'il s'agit de fournir des solutions globales et optimales destinées au secteur de l'eau.
L'eau est au cœur des grands problèmes écologiques contemporains. D'un point de vue quantitatif, l'eau douce disponible représente moins de 1 % de l'eau stockée dans les océans, les banquises et les glaciers. Elle est très inégalement répartie à la surface du globe. L'Amazonie regorge d'eau douce : 15 % des ressources pour 0,3 % de la population mondiale. Tandis que l'Asie (et notamment le Proche et le Moyen-Orient) ont des bilans gravement déficitaires : 30 % des ressources pour 60 % de la population mondiale. Dès à présent, un terrien sur trois subit une pénurie d'eau, une situation que risquent d'aggraver le réchauffement climatique et le déboisement massif des forêts tropicales. Avec pour conséquence "d'aridifier" davantage encore des régions entières et, pour ce qui nous concerne plus immédiatement, l'ensemble du bassin méditerranéen.
L'agriculture à elle seule consomme 70 % de l'eau douce, l'industrie 20 % et les usages domestiques 10 % seulement. Sans doute arrive-t-on au terme d'une période où les irrigations massives consommant d'énormes quantités d'eau s'orienteront vers les irrigations aux gouttes à gouttes, nettement moins dispendieuses, comme le font déjà bon nombre d'agriculteurs aux États-Unis et en Israël, notamment. Et l'on imagine déjà la fin du maïs pour nos pays dont les cultures sont extraordinairement dispendieuses en eau. Bref dans le futur, les conflits pour l'eau risquent de se multiplier. Sait-on que Gaza est alimentée en eau par Israël qui lui-même bénéficie des eaux du Golan, sources de tensions avec le Liban et la Syrie ? Quant au dessalement de l'eau de mer, ses coûts actuels ne sont supportables que pour les pays du Golfe. Ailleurs ils sont prohibitifs